Guy Carlier, ses 4 maîtresses et le numéro inconnu

Attention les meufs, le récit qui va suivre risque de vous faire voir le monde, et en particulier les relations de couple, voire votre conjoint, d’un nouvel œil.

Connaissez-vous Guy Carlier ? Oui, le gros (m’est d’avis que Pierre Ménès, notre Obélix du journalisme sportif, va me tomber dessus comme il le fait avec quiconque ose traiter son ami gros de gros mais avouons-le, c’est le premier mot qui vous est venu à l’esprit). Donc ce gentil gros Guy Carlier, celui qui fit un temps le sniper chez Fogiel avant de nous gonfler chaque matin avec ses portraits « méchants » de célébrités, redondants et répétitifs dans les tournures de phrases, avait trouvé l’amour fou il y a de cela 6 ans.

C’est par l’intermédiaire d’un ami commun que Guy avait en effet rencontré Joséphine. Joséphine Dard, pour être plus exact. La fille de Frédéric, alias San Antonio, l’auteur favori de Guy, qui savoura un temps le bonheur inespéré d’avoir rencontré à la fois la femme de sa vie et la famille du chantre du polar argotique, touchant avec émotion les éditions originales que jamais il n’eût osé caresser sans sa rencontre magique avec Joséphine. Pas si mal de sa personne et de vingt ans sa cadette, ladite Joséphine tomba elle aussi éperdument amoureuse de Guy, malgré son physique peu avenant (que ceux qui souhaiteraient marteler le contraire quittent ce blog sur le champ).

Enamouré, le couple nous força à être les témoins de leur idylle, puis de la naissance de leur enfant. Dans Paris Match et ailleurs, très ponctuellement pendant ces six années, Guy et Joséphine nous imposèrent le spectacle dérangeant de leurs papouilles légendées de déclarations dégoulinantes autour du thème « tout va merveilleusement bien dans notre couple », « je n’ai jamais été aimé comme elle m’aime », « qu’elle me trompe me paraît inconcevable »… déclaration que faisait il y a 15 jours encore Guy, ajoutant qu’il était une « midinette ». Ah ouais ?

[Pause : là vous vous dites, franchement c’est super pour ce gros type tout blanc d’avoir trouvé une héritière pas mal, jeune et raide dingue de lui. Mmmh…]

Il y a 3 jours, coup de tonnerre, Joséphine se faisait jeter comme une malpropre par son gros Guy. Folle de rage et de désespoir, elle tombait alors le masque et balançait tout à un journal Suisse : quelques jours auparavant, voyant Guy envoyer des textos en scred, elle avait décidé d’en avoir le cœur net et fouillé pour la première fois dans ses mails. Là, elle était tombée sur des échanges entre son mari et l’ancienne aide-soignante de sa mère, des « lettres enflammées et immondes », selon ses propres termes. Elle avait également découvert que dans son portable, il avait entré le numéro de la jeune femme sous le nom « Inconnu ». Pas bête, hein ? Paraîtrait que c’est très connu comme tactique, il y a des mecs qui vont m’en vouloir… Bref du coup, quand la nana appelait, il disait « je réponds pas aux numéros inconnus ». Saloperie. L’aide-soignante avait, elle, déjà quitté son mari depuis janvier et attendait sagement que Guy, ce gros lâche, quitte femme et enfant pour la rejoindre, ce qu’il fit après s’être fait gauler. Direct.

[Pause : là vous vous dites pauvre Guy, il a craqué pour la femme qui a aidé sa mère à mourir, c’est un malencontreux concours de circonstances, le destin. Que nenni !].

Pas à une confidence près, la Joséphine a finalement tout déballé et raconté que Guy présentait depuis longtemps une « addiction aux femmes » (berk), et qu’à certaines périodes de leur mariage, il avait même entretenu des liaisons avec 4 maîtresses simultanément. Et là vous vous demandez ce que signifie « simultanément », genre les voyaient-ils toutes ensemble ? Et là vous riez de plus belle en vous disant « y’a d’la place ». Personnellement je ne préfère pas savoir…

Quant à Guy, visiblement pas mécontent de s’être fait prendre en flag, il a tout bonnement déclaré : « Je comprends que Joséphine soit blessée. Je l’ai trahie en développant parallèlement à notre histoire d’amour, une autre histoire. J’ai été lâche. » Ok mec, merci pour ton intervention.

Tout ça pour dire plusieurs choses. La première, c’est que, comme le dit souvent mon beau-père, y’a pas que les beaux qui baisent (bien au contraire ?). La seconde, c’est qu’il ne sert à rien de s’acoquiner avec un moche en se disant qu’on est à l’abri. Visiblement, dans le doute, autant se taper une bombe. Et la troisième, c’est qu’après cet article, je vais être obligée de répondre à tous les numéros masqués qui m’appellent sinon mon mec va croire à chaque fois que je le trompe. Encore une fois, merci Guy !

« Oui, bonjour, ici votre conseiller clientèle Bouygues Télécom je ne vous dérange pas… »

9 réflexions au sujet de « Guy Carlier, ses 4 maîtresses et le numéro inconnu »

  1. Hummm leur histoire d’amour m’a toujours laissée ….dubitative ..
    Perso je préfère encore être célibataire 😉 Non je ne suis pas méchante..seulement réaliste !

  2. Très astucieux ce truc du numéro Inconnu. Moi non plus je ne leur réponds jamais. Par contre, cette histoire de moche, pas même spécialement talentueux qui serre ce qu’il veut, ça me tue ! Si on ne peut même plus faire confiance aux gros moches. Mais où va-t-on ?

  3. Quel gros porc ce mec. Déjà que je kiffais pas ses chroniques et ses papiers, pleins de suffisance et de méchanceté… Mais là, d’apprendre qu’il promenait sa bite gélatineuse partout…. beurk, j’ai envie de vomir le genre humain.

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